Dernières nouvelles de la mer de Cayo Largo !

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Jo L
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Dernières nouvelles de la mer de Cayo Largo !

Message par Jo L »

14 juin 04 :

35 degrés à l'ombre le midi...35 heures réparées par cette première nuit, défraîchement débarqués sur l'île.

Réminiscences de la veille de ce long monologue en fin d'après-midi, par cette mer languissante, narrant son parcours des sept derniers mois. Rituel de thalasso et embrassements réciproques, suivis d'une somnolence en rêveries entrecoupées de sursauts extasiques.

Souvenance du souper d'anniversaire de Pierre au Ranchon, ponctué par les notes d'une flûte enchanteresse, célébrant la vie et le bonheur retrouvé.

Et ce jour qui s'annonce tout en perfection et délices partagés...que désirer
de plus ?

Le cinquième palapa, en bout de plage, nous chapeaute en nous
conférant un air guilleret. La brise emmêle ses cheveux qui dansent et
dessinent des arabasques frivoles tout autour.

Une journée qui s'étire en langueur et rinçages de corps et d'idées.

Note finale arrosée d'un Chardonnay de Californie (hé oui !) sur ragoût de
langouste, cuisiné par le Chef français Pierre L'Heureux.

Nuit perturbée par un métabolisme réactionnel.
.....

15 juin 04 :

Blues et atterrissage pénible alors que Julian (le jardinier) me cueille au pied de l'escalier en offrande de fleurs liées. Sourires et douceurs partagés.

La nuit dernière, une étoile filante s'est défilée sous mes yeux et j'ai eu une pensée pour jedab...

Nouvelles tentatives d'appels téléphoniques avortées et rentrée sur plage
vers le 5è palapa...

Ô surprise ! Une nouvelle statue, vis-à-vis le dernier palapa de l'ouest est apparue aujourd'hui. Des formes lumineuses valsent tout autour...on dirait SimD, tentant de se matérialiser...

Et cette insoutenable pesanteur du corps en opposition à l'extrême légèreté
des volatiles qui forcent la réflexion avec une telle insolence.

.....
 

16 juin 04 :

Suis-je bien vivante en ce lieu ou virtuellement transportée dans une quelconque malle ?

Les préoccupations quotidiennes et terre à terre s'estompent sous l'écume léchante.

Besoin de silence et de quiétude. Douce mélodie de cette mer s'accordant aux cris stridents des mouettes toujours aux aguets. Pourrai-je replonger aisément dans ce tourbillon de vie trépidant, reprendre le collier de la routine quotidienne ?

Ai-je une hallucination ? Je crois apercevoir Stephen King couler à pic dans les vagues...

Mon regard est attiré par le cercle de bâtonnets délimitant un espace vital sous terre, celui des oeufs de tortue en nidation. L'inscription suivante est suggérée par Pierre : ICI GÎT LA VIE !

À l'heure du lunch, vers 13:45, un souffle chaud m'effleure l'épaule droite et je devine la présence de mes amis transportés dans les malles.

Vers 21:30, Jas & Burt se manifestent sur un air de Summertime.

.....

17 juin 04 :

Trois jours se sont écoulés depuis notre arrivée. Mon âme et mon corps gobent ces ondes rassérénentes en symbiose avec une mer en débordement de bienfaits. L'orage de la nuit dernière a texturé le sable tel du grès. Quatre naturistes en quiétude partagent cet environnement. Je savoure mon esseulement alors que Pierre s'en est allé explorer les fonds marins. Tout se conjugue en bonheur d'exister. Mes pensées s'escamotent en considérant cette mer qui n'en fait qu'à sa vague. La subtile déchirure s'élargit, me révélant à nouveau à mon état primal.

Cet élan de réflexion se voit subitement bafoué par des intrus qui s'installent au palapa voisin. Cette proximité sur une plage quasi-déserte engendre en moi une pulsion de fuite. L'harmonie, dans sa grande fragilité s'est effritée d'un coup. Je m'applique à retrouver le charme rompu. Je scrute l'espace disponible et n'entrevois aucun havre comparable à mon choix initial. Tout en considérant l'espace ombragé qui m'est
dispensé, il suffit alors de déplacer ma chaise pour leur tourner le dos. L'amélioration est notable et ma vision des choses, filtrée à travers mes lunettes de soleil, m'apparaît plus réjouissante.

Au sortir de l'eau, un pélican jubilant d'aise m'éclabousse au passage. Je crois deviner qui s'est approprié l'apparence de cet oiseau...

.....

18 juin 04 :

Errance matinale en cette journée qui s'annonce caniculaire. Flou cérébral de séjour sur balcon, ressuscitant sur les airs d'Armstrong-Fitgerald.

Allongement de lunch jusqu'à 15:00 sous les bruissements du vent et les éclats de rire de ces amis virtuels. Une invitation m'est lancée de les accompagner jusqu'à l'ancienne plage du Capricho, mais j'opte plutôt vers la baignade en solo.

Ce bain de mer dans une soie liquide ferait mourir d'envie tous les petits vers tisserands!

Rencontre fortuite en rentrant vers 18:00 et conversation d'à peine quinze minutes qui me vaut un chaleureux coup de soleil côté droit.

Finale sur pâtes au pesto et dodo en cataplasme d'aloès.
 
.....

19 juin 04 :

La première semaine s'achève sur une continuité torride. Je fais la grasse matinée, saute le petit-déjeûner, me dirigeant vers ce hamac invitant; une douce torpeur s'installe...En fin d'avant-midi, je file vers le Lobby Bar savourer un cappucino rehaussé d'un doigt de brandy. Une tortue s'avance vers moi et me fait un clin d'oeil coquin. Je lui lance un morceau de croissant qu'elle avale goulûment. Je l'ai baptisée Amgaulin.

Quelques clichés photographiques chemin faisant. Tourterelles, poissons et tortues se prêtent à quelques séances. En attente d'histoires de plongée, en prémisces de calmars et rosé.

Le canard est au menu du Las Trinas et ce repas, bien arrosé d'un Cabernet Sauvignon-Shiraz d'Australie nous comble de bonheur alors que Madeleine virevolte, nous murmurant de sa voix grave : ¨Cest la vacance!¨
.....

20 juin 04 :

Cette mer est comparable en calme et scintillement à celle du 20 novembre 2003 ! Que de volupté à se laisser ainsi flotter, juste supportée par un oreiller gonflable...Souvenance de Bwibwi qui se prélassait dans ce même bain il y a sept mois.

Je n'ai pas senti mes amis virtuels aujourd'hui. Se sont-ils tous évanouis sur la plage de Sirena ? Ont-ils trop écouté le chant des sirènes ?

Un nouvel arrivage s'est pointé sur la plage en milieu d'après-midi. Deux connaissances célèbrent joyeusement en retrouvailles émoustillantes. Rendez-vous au Ranchon pour le dîner en soirée.

Il vente à écorner n'importe quel démon passant à proximité et les moustiques n'ont pas cru prudent d'insister. Le potage s'envole et les totis battent en retraite. Les musiciens eux aussi ont abandonné ce lieu.

Fin de soirée au Lobby Bar et pré-dodo sur notes musicales de Mors et Vita de Gounod.
.....

21 juin 04 :

Journée splendide ! Mais prudence s'impose et l'ombre du palapa est le refuge idéal. La peau dégage une chaleur emmagasinée depuis la veille et mon corps, tel un volcan ne se reconnaît plus.

J'ai entrevu Amgaulin endormi sur son bouquin !

Langouste en soirée et finale de Cohiba au Lobby Bar... Rencontre d'un jeune Français nous confiant qu'il planifie demander sa douce en mariage dès ce mercredi 23 juin, solitaire à l'appui.

Nous marchons paresseusement vers la chambre, aspirant à une climatisation bienfaisante. Nous croisons quelques chats en déroute et de petits crabes exacerbés par nos pas.

Demain, une autre journée torride à savourer...
.....

22 juin 04 :

Réveil à 07:45. J'entrouve la porte-patio et je respire cet air si rafraîchissant, en complicité avec une mer plus houleuse...L'occasion est trop belle et je retourne somnoler au lit, bercée par ces sonorités rarissimes. En fin d'avant-midi, je dois prévenir les miens que le retour est retardé au 28 juin et je vous épargne les autres considérations frustrantes...

Je rentre à nouveau à la chambre car cette brise bienfaisante m'invite au balcon, tandis que cet hymne environnemental ponctue mon écriture, confortablement installée dans la chaise en rotin. J'adore ces heures de
retrait lorsque Pierre part pour la plongée et que le silence humain permet à l'âme de s'exprimer tout à son aise. Je savoure davantage cette deuxième semaine et la vie coule tout doucement. Il est vrai que je la goûte moins avidement mais combien plus introspectivement.

De retour de plongée, Pierre m'a déclaré avoir aperçu une curieuse ombre
blanche sur le quai de la Marina, rôdant autour des voiliers. Je l'ai
taquiné mettant cela sur le compte de la décompression, ajoutant que ce
genre d'hallucinations devenaient de plus en plus fréquentes...
.....
       
23 juin 04 :

Prise de conscience et tombée des nues...

Certaines attitudes ont changé et j'hésitais à le mentionner craignant d'en
décevoir plusieurs. Nous avons constaté que l'imagination du personnel
devenait de plus en plus fertile pour l'obtention de ces fameux dollars
américains. La sollicitation se fait plus insistante et l'on se voit fréquemment offrir des services en sus de ce que l'hôtel nous concède. Le prix demandé est parfois exhorbitant. Je ne veux pas entrer dans les détails, sachant que vous en devinez les raisons fondamentales, mais cette attitude se constate à différents paliers.

Nous nous sentions parfois pris au dépourvu et cela a jeté un voile
d'amertume sur l'ensemble de notre séjour. Les petits cadeaux du
Dollorama, ils en sont à mille lieux, croyez-moi ! Ils aspirent à des produits de luxe et il vaut mieux oublier les échantillons de parfum, les brosses à dents et les petites ¨pins¨ pour la majorité d'entre eux.

Les jardiniers ont conservé une certaine fraîcheur d'âme et ils sont toujours heureux qu'on prenne le temps de leur causer. Plusieurs aiment pratiquer le français ou l'anglais et sont touchés de se faire prendre en photo.

Pendant que nous discutions avec Jorge, un jardinier fort sympatique, un
oiseau-mouche s'est posé sur une fleur de bougainvillier humant ses parfums avec une joie évidente...

Mais il y avait le ciel, le soleil et la mer...qui nous aidait à faire abstraction des observations moins glorieuses de l'endroit.

.....

24 juin 04 :

En ce jour de la St-Jean, plusieurs sont partis à la Havane et la plage de
l'ouest est quasiment déserte; à peine trois personnes se détendent sous
leur palapa. Je m'installe très loin d'eux, appréciant cette isolement inespéré.

Un couple se pointe peu de temps après mon arrivée et jette son dévolu près d'un palapa déjà occupé. Je me demande bien pourquoi l'être humain aspire tant à la promiscuité alors que la vastitude s'offre généreusement à lui !!!

Peut-être ne sommes-nous pas programmés pour les grands espaces ? En voici un autre qui prend place juste à côté de moi...Est-ce de l'insécurité ?

La mer et le vent s'unissent en une offrande délirante. Le ciel, presque
entièrement dégagé ou dé-ouaté resplendit sous la luminosité ardente d'un
soleil décidé à faire dorer tout ce qui se trouve à portée de rayons. J'ai
l'impression de tourner en pain d'épices !

Juste pour cette glorieuse célébration, mes sens palpitent d'une jouissance
enfantine. Je me sens une Ève accomplie ayant le sentiment d'avoir tout
résolu avec Adam...

Lovée dans une chaise banane, mon corps s'intègre tel un coquillage dans
cette matière poudreuse, poli par l'écume de mer et le souffle continu du
vent.

Le string noir du vieux monsieur d'à côté m'obstrue l'horizon
momentanément. Je ferme vite les yeux pour figer toute la beauté et la
splendeur de cet environnement dans ma mémoire, y rejetant toute disgrâce, n'y acceptant que la transparence.

Je songeais à aller me promener vers l'est et suivre ces formes lumineuses
semblant entrer dans l'au-delà, mais une fois de plus, je prends racine sur
cette portion de plage.

Une fin de soirée au hamac sous un ciel scintillant de mille feux étoilés. Une St-Jean sans tambour ni trompette aux saveurs subtiles et tièdes.

.....

25 juin 04 :

Formalité d'usage en ce début de journée : l'échange de nos billets de retour dû à un horaire modifié. L'on nous confirmera ultérieurement l'heure allouée pour quitter la chambre. TMR négocie pour un prolongement d'occupation jusqu'à 20:00. Cela serait appréciable...Plusieurs récriminations sont dirigées auprès de la représentante qui réussit à conserver son calme et son sourire.
Bravo Lucie!

Mais je ne vous ai pas encore causé de la mer qui, elle, se moque
éperduement des aléas des humains...Aujourd'hui, elle se veut envahissante et ses bouillonnements en rebutent plusieurs. Elle dépasse même les limites prescrites par les bâtons bordant la plage. Elle nous creuse des étangs irréguliers et nous façonne une plage méconnaissable. Elle se faufile jusqu'à l'escalier du bar. Ses sautes d'humeurs sont spectaculaires et elle en bave d'écume, la belle !

Depuis le temps, semble-t-elle me dire, que tu projettes de faire une photo
mémorable de moi, alors, ne suis-je pas assez versatile à ton goût ?

J'ai compris son insistance et l'ai croquée sous ses multiples facettes. Quelle poseuse, rusée et infatigable elle est !

Les mouettes rieuses sont venues se rincer l'oeil, ne manquant pas d'y
laisser leur empreinte sur fond de pellicule...

La douche vivifiante en pré-apéro constitue un moment magique dans ma
journée. Ce moment où je me redécouvre, sous l'épaisse couche de sel et de sable, évaluant l'avancement du colori de la peau.

Repas bâclé au Las Dunas. Les odeurs nauséabondes d'anti-moustiques et
les bestioles en question, nullement incommodées par ce répulsif, se régalent avec une férocité accrue. Je célébrais leur absence depuis notre arrivée et il semblerait qu'elles aient mal interprété ces louanges.

S'ajoutent à ce fléau les habituelles poubelles vivantes...mon coeur n'y tenant plus, je préfère tirer ma révérence à ce cortège humain d'affamés en désoeuvrement.

En rentrant à la chambre, ça discutait fort sur le balcon car plusieurs de nos amis virtuels semblaient rébarbatifs à regagner les malles...Nous les laissons entre eux, nous dégageant de toute responsabilité.

Je me suis endormie tout doucement, bercée par la voix d'Anne Sofie von
Otter, incarnant Ariodante d'Handel...
.....

26 juin 04 :

Excellente nouvelle ! Nous pourrons quitter la chambre à 20:00. Réservation au Ranchon pour un troisième dimanche (ce qui est exceptionnel) et nous boirons la mer jusqu'à 22:30, étirant notre repas de façon privilégiée. Par la suite, ce long parcours de rentrée, nos valises en surplus de rêves, de sensations et d'heures exquises pour soigner notre SCLAS comme il se doit.

Journée de farniente et de photos, sentant l'urgence de tout immortaliser.

Je suis heureuse de rentrer toute requinquée d'une énergie nouvelle, pensant avoir absorbé toute la substantifique moelle de Cayo Largo. Pierre veut revenir...Pour l'instant, je suis rassasiée et ne concocte aucun projet en ce sens.

Petit oubli pour la journée du 26 juin...nous sommes allés marcher en milieu d'après-midi vers Paraiso et sommes rentrés par le tracteur de 17:00 tout empoussiérés, empressés d'aller nous rincer.

27 juin 04 :

Calmars au Ranchon et marche en direction de l'est. Chemin faisant, nous
nous attardons à l'affiche du vol en parapente et les responsables, devinant un certain intérêt de ma part, m'expliquent la procédure. J'accepte volontiers de voler en tandem avec l'un d'eux.

Tout simplement fabuleux de se retrouver corps et âme, complice du vent,
survolant le complexe CL. Je vous en ai déjà entretenu et je ne m'attarderai point là-dessus. J'y songe encore et, pour l'instant, c'est cette sensation que j'aimerais bientôt retrouver.

Pour la suite, vous la connaissez car déjà commentée sous un autre sujet.
Ces désagréments sont déjà rangés aux oubliettes. Il ne reste plus qu'à
visualiser très prochainement mes photos. J'espère pouvoir vous en montrer quelques-unes, mais cela dépendra du résultat...

Merci d'avoir eu la patience de me lire jusque là !
Dernière modification par Jo L le 15 juil. 2004 21:13, modifié 2 fois.
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amgaulin
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Message par amgaulin »

Quelle bonne idée Jo L que de transposer ton plus récent résumé de voyage ici !!!

Des heures de plaisir à partir de cette nouvelle génération de résumés de voyages !

8)
Jo L
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Message par Jo L »

Oups !!! Je me préparais à tout effacer, car je n'étais plus certaine d'avoir bien agi... :oops:
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amgaulin
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Message par amgaulin »

Mais non !!!

N'efface pas......de toute façon......c'est trop tard :lol:

Et ton résumé est excellent !

8)
Jo L
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Message par Jo L »

La nostalgie, sans doute... :roll:
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amgaulin
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Message par amgaulin »

La tienne......ou la mienne......ou les deux :lol:
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jedab
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Moments d'intensité!...

Message par jedab »

:roll: Oh! Comme tu as bien fait Jo L...de ne rien effacer!...Ce qui est important..c'est de partager!!.... ;)
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SimD
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Message par SimD »

Bonne idée d'avoir transcrit le tout ici... après tout il n'y a pas si longtemps que tu es de retour. Cependant, je suis certain que tout comme moi, c'est comme si ça faisait très longtemps! :(
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SimD
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Message par SimD »

Question d'ensoleiller cette journée grise, je me fais plaisir en relisant ces nouvelles... Il me semble que les calmars et le rosé seraient appréciés ce midi :|
Jo Laterreur
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Message par Jo Laterreur »

Excellente idée de partager à nouveau ce fabuleux récit. Il fait 30 degrés ici aujoud'hui et avec un peu d'imagination, on peut presque entendre la mer ... \:D/
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